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Pièce de :
Peter EYRE
D’après la correspondance
de George SAND
et Gustave FLAUBERT
Adaptation et mise en scène :
Sandrine DUMAS
Assistée de :
Valérie NÈGRE
Avec :
Marie-France PISIER
André MARCON
Costumes :
Chloé OBOLENSKY
Décors :
Antoine PLATTEAU,
Assistée de :
Malika CHAUVEAU
Lumières :
Marie NICOLAS,
Assistée de :
Rémi GODFROY
Musique originale,
composée
et interprétée par
Renaud PION
Production :
Théâtre de la
Gaîté-Montparnasse
et Théâtre du Gymnase
(Marseille)
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PIÈCE
de Peter EYRE
Quand,
en 1864, Sand et Flaubert se rencontrent, ce sont déjà deux
personnages incontournables du monde des lettres.
Elle
a une soixantaine d'années et des dizaines de
romans derrière elle ;
il en a cinquante, vit "comme
un ours", a écrit "Madame Bovary" et
vient de publier "Salammbô".
Leur correspondance
s'étalera sur douze ans et ne sera interrompue que
par la mort de George Sand. On assiste à la naissance
d'une amitié qui se fortifie au fil des lettres
pour faire place à une réelle intimité.
Flaubert
et Sand, que presque tout devait opposer, ont réussi,
malgré ou grâce à leurs divergences, à s'apporter
une écoute et un soutien véritable.
Leurs
pensées restent un modèle d'intelligence,
un regard posé sur leur société qui
fait perpétuellement écho à notre
monde.
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NOTE D'INTENTION
"Chère Maître," fut
d'abord, pour moi, une rencontre avec un de ces textes
qui semblent exister pour vous aider à affronter
la vie.
Il se dégageait de cette correspondance
entre George Sand et Gustave Flaubert une attitude
face au monde qui me donnait du courage, des fulgurances
de rage visionnaire qui me donnaient des ailes.
Ma
décision
de le présenter à Paris, après
son succès à Londres, et d'en assurer
moi-même la mise en scène est née
du désir de faire entendre dans la cacophonie
d'aujourd'hui l'acuité de la parole de ces deux
géants du siècle dernier.
Dans notre
monde où les valeurs marchandes prennent de
plus en plus le pas sur le travail artistique, il est
bon, nécessaire, crucial et amusant d'entendre
ce que Flaubert et Sand s'échangeaient sur ces
sujets, il y a un peu plus de cent ans…
Sandrine Dumas
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MISE
en scène |
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Sandrine
Dumas
En tant que comédienne,
Sandrine Dumas a travaillé au cinéma
avec, entre autres, Medhi Charef, Ermanno Olmi,
Robert Altman, Milos Forman, Krystof Kieslovski,
Laurent Perrin, Jacques Fansten, Maroun Bagdadi,
Giaccomo
Campiotti.
Au théâtre, elle a notamment
travaillé sous la direction de Simone
Amouyal, Michel Didym, Isabelle Nanty, Etienne
Bierry, Gérard Vergès et Pierre
Pradinas.
Elle a écrit un longmétrage
Meilleurs Voeux en 2000 pour lequel elle a obtenu
une aide du C.N.C. puis a participé pendant
un an à la Fémis à la Formation
Scénario.
En 2003, elle a réalisé son
premier court-métrage.
Le garde du corps
a obtenu une mention spéciale au festival
de Berlin 2004 sélection Panorama, la
prime à la
qualité du C.N.C. et le prix du public
des Rencontres Cinématographiques de Digne-les-Bains.
Elle développe actuellement un projet
de longmétrage.
Chère Maître, est sa première
mise en scène de théâtre.
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Peter
EYRE
Depuis
toujours, Peter Eyre a marqué un
intérêt particulier pour
la littérature française.
Il a adapté la correspondance entre G.Sand et G.Flaubert, et l’a
mis en scène, intérprétant le rôle de Flaubert
face à Irene
Worth dans le rôle de G.Sand.
Ils ont créé Chère Maître, aux Etats-unis, puis l'ont
repris avec succès à l'Almeida Theatre à Londres.
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SUR SCÈNE |
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Marie-France
PisieR
"Ce
qui arrive et ce qu’on attend"
de Jean-Marie Besset, mise en scène
de Patrice Kerbrat
"Le pain dur, Le père humilié"
de Paul Claudel, mise en scène de
Marcel Maréchal
"Liaison Transatlantique"
de Fabrice
Rozié mise en scène de
Patrice Kerbrat
(d’après “Lettres à Nelson
Algren” et “Les
Mandarins” de
Simone de Beauvoir)
MISES
EN SCÈNE
"Le bal du gouverneur"
"Comme un avion"
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André Marcon
André Marcon a joué et mis en scène de nombreux textes de Valère Novarina : Le discours des animaux aux Bouffes du Nord, Pour Louis de Funès en 1986 et Je suis en 1991 au Théâtre de la Bastille…
Il travaille régulièrement avec Bernard Sobel – Le Tartuffe en 1990 - Alain Françon - Visage de feu de Marius von Mayenburg et Skinner de Michel Deutsch en 2002 au Théâtre de la Colline et Bruno Bayen - Plaidoyer en faveur des larmes d’Héraclite en 2003 à Chaillot et aussi avec Jean Pierre Vincent, Pascal Rambert, Michelle Marquais, Peter Zadek et Georges Lavaudant.
Roger Planchon marque sa carrière dès 1978 avec Antoine et Cléopâtre au Théâtre des Amandiers de Nanterre puis tout au long du TNP. Il a tourné dans le film de Luc Bondy, Ne fais pas ça en 2003. C’est leur première collaboration théâtrale.
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