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Distribution Parisienne |
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Auteur : |
Graham Greene |
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Version scénique : |
Giles Havergal |
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Adaptation & Mise en scène : |
Nicolas Briançon |
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Avec : |
Claude AUFAURE
Jean-Paul BORDES
Dominique DAGUIER
Pierre-Alain LELEU
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Scénographie : |
Pierre-Yves Leprince |
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Lumière : |
Gaëlle de Malglaive |
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Musique : |
Gérard Daguerre |
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Son : |
Julien Dauplais |
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Chorégraphie : |
Karine Orts |
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Production La Pépinière Théâtre
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Période de tournée : Janvier – Février – Mars 2016 |
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NOTE D’INTENTION
Quatre comédiens. Vingt rôles. Un roman anglais hilarant. Giles Havergal qui l’a adapté et en a fait un triomphe à Londres et à Broadway, l’a transformé en une fête de théâtre absolu. Dans une fidélité totale au roman, à sa drôlerie, mais aussi à sa mélancolie et sa profondeur. Car Voyages avec ma Tante est aussi une métaphore de notre monde. De celui d’aujourd’hui. Et qui nous parle certes de la passion des dahlias, des dangers du haschich dans les compartiments de train et de la nécessité de ne pas tripoter les boutons dans les crématoriums, mais aussi de notre capacité à nous adapter, de nos conservatismes, de la peur de l’avenir et surtout de la quête de notre identité. C’est le défit qu’impose la pièce : préserver sa virtuosité réjouissante, son humour dévastateur, mais aussi faire entendre sa nostalgie et sa poignante ivresse.
Nicolas Briançon
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Graham Greene
Considéré comme l’un des plus grands auteurs britanniques, Graham Greene est né le 2 octobre 1904 à Berkhamsted en Angleterre. En 1929 paraît son premier roman, L’Homme et lui-même, bientôt suivi par Orient-Express, C’est un champ de bataille, Mère Angleterre. Il a fait la guerre comme agent de renseignements en Sierra Leone. Ses nombreux déplacements vont nourrir son oeuvre : Le Fond du problème, Un Américain bien tranquille, Notre agent à La Havane.
Romancier, nouvelliste, homme de théâtre, essayiste, Greene a aussi travaillé pour le cinéma, adaptant ses oeuvres à l’écran, en écrivant des scénarios, dont ce grand classique du film noir, Le Troisième Homme.
Décoré de l’ordre du Mérite anglais et nommé Companion of Honour, Graham Greene est mort en Suisse en avril 1991.
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Nicolas Briançon
Caroline rencontre Nicolas par hasard en allant visiter son appartement à vendre... il lui parle de Jacques et son maître et de Milan Kundera...
Elle n’achète pas son appartement mais le trouve drôlement sympathique et elle adore Kundera... Alors elle organise un rendez-vous le lendemain au théâtre avec Antoine son associé... Antoine n’a pas besoin d’acheter un appartement mais Nicolas lui semble charmant et il le trouve culoté de proposer un spectacle avec 10 comédiens à un théâtre aussi petit que la Pépinière...
Finalement l’aventure paraît à Caroline et Antoine gonflée mais possible...
Alors ils se lancent ! Pari gagné ! Très beau spectacle : succès à la clé… Cerise sur le gâteau, Nicolas, Caroline et Antoine s’entendent bien... Alors l’année d’après ils inventent une nouvelle folie... Un Cabaret Canaille à 23h... Là encore pari réussi ! Nicolas invente une fois de plus un spectacle formidable... Caroline et Antoine sont contents... Quand, au printemps dernier Nicolas leur propose de monter une pièce anglaise un peu folle, romanesque et joyeuse, Caroline et Antoine disent oui avant même de l’avoir lu... Pour Caroline et Antoine c’est particulièrement chouette de travailler avec Nicolas, parce qu’il a beaucoup de talent ensuite parce qu’il comprend tout aux problèmes de production et parce ce qu’il a une équipe d’enfer autour de lui... l’extraordinaire Pierre-Alain, le merveilleux Michel, la magique Karine, le poétique Pierre-Yves et la fantastique Gaëlle...
Voilà... cinq ans plus tard, finalement Caroline cherche une maison, Antoine rien, il a tout ce qu’il lui faut, mais ils ont trouvé un ami épatant...
et ça c’est chic !
Caroline Verdu-Sap, Antoine Coutrot. |
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Claude Aufaure
Claude, ça a été l’évidence. Je dirais même que ce projet a ressurgi à cause ou grâce à lui (on verra !). En le voyant jouer, j’ai su que j’allais pouvoir monter ce projet. Il est la pierre d’angle. Ma tante Augusta ! Et ma joie et mon honneur de diriger cet immense comédien.
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Jean-Paul Bordes
Jean-Paul peut tout jouer. Il est à lui tout seul la meilleure définition du théâtre ! Il est le jeu en mouvement.
Sans frein, disponible, en proposition constante… Nous nous connaissons depuis longtemps, il est bienveillant et fraternel. J’aime « faire » du théâtre avec lui. Une seule consigne : l’empêcher de tomber (il adore ça). |
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Dominique Daguier
Dominique est un immense comédien. Il se rattache à la très longue tradition des très grands seconds rôles du cinéma français. Il est de la race des Saturnin Fabre, des Noël Roquevert ou des Carette. Nous nous côtoyons depuis trente ans. Je l’ai vu jouer tout : les jeunes gens, les vieux atrabilaires, Molière, Labiche, Feydeau, Shakespeare, il est partout chez lui.
Je l’admire et je l’aime. |
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Pierre-Alain Leleu
Mon double. Mon ami. Depuis plus de dix ans, monter une pièce, « faire » du théâtre (j’aime cette expression « faire » du théâtre ! elle dit tout : l’artisanat, le travail, la sueur, les larmes et la joie) serait pour moi impossible sans sa présence, son sens de l’organisation, et son talent. Il arrive à un moment de sa vie où son talent et sa personnalité se rejoignent. Il est de plus en plus acteur et c’est bien. |
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